à la fois beauté sauvage et beauté céleste, à la fois traversé par des émotions multiples et pure paix, pure tendresse, pure beauté.
Puissance destructrice dans ses mains et réalité de toutes les beautés s’il se laisse porter par la majesté de ce qui est, par cette nature environnante, par ces créatures qui traversent les paysages dans une liberté pleine et entière.
Fougue animale de l’homme qui n’a pas réussi à dompter ses mirages, à s’effacer devant tant de magies, tant de perles, et qui se laissent aller à des brutalités par immaturité, inconscience, esprit provocateur et assoiffé de pouvoir, de reconnaissance…
Fougue de l’enfant qui vient spontanément se jeter dans vos bras et vous offrir un câlin,
Fougue du passionné qui sent la délicatesse de la chaleur du soleil et se laisse enivrer par le vin le plus doux et le plus pur qui soit.
Armand Amar, compositeur, nous offre des œuvres magnifiquement envoûtantes. Ici, avec Kadish, il réalise un chant d’une profondeur et douceur incroyable.
Splendeur de l’Homme qui sait apprécier le silence, qui a apprivoisé ses peurs et qui s’offre à la nature des choses…
Magie des rencontres qui semblent irréelles et qui pourtant sont bien de chairs… Le cheval ne se braque pas. Il honore.
Telles sont les réalités de la vie si nous nous offrons à elle, si nous sortons de la maîtrise, si nous nous laissons aller à rêver, à imaginer puis à les réaliser…
Merci à tous ces créateurs de magie, à toutes ces fééries sous les formes les plus multiples qui soient… Que serait un monde sans peintres, sans poètes, sans conteurs, sans musiciens, sans magicien, sans rêveurs, sans fantaisies et fantaisistes ? Mort.
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Douces tendresses,
Carole